1. |
Bonheur Potentiel
02:55
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Bonheur Potentiel
Je m’étais remis à l’ouvrage, je couchais quelques lignes
A l’ombre des histoires sauvages et câlines
Qui nous résumaient tous les deux
Pensant que Cupidon voulait faire de son mieux
A trop attendre son arrivée, on s’est décousus à la longue
Comme ces étoiles artificielles à savoir
Qu’elles ne scintillent que dans le noir
Comme un avenir potentiel noctambule dans sa ronde
Plus rien n’avait de sens si ce n’était celui de l’unique
A trop attendre qu’il redescende, nous avions fermé boutique
Un bonheur potentiel
Mais tu sais, ceux qui volent s’enterrent en plein ciel
Et le cœur a ses raisons que nos instincts nous rappellent
Pour un peu qu’on l’ignore, perdus dans la bagatelle
Je voulais expulser ma rage, accoucher quelques signes
Comme un enfant de passage, perdu
Qui voudrait s’en aller digne
Pensant que l’archer du bidon se pointerait à la bonne heure
Plus rien n’a de sens si ce n’est celui de l’unique
Je te vois quand tu danses affolant les mâles du cirque
Un bonheur potentiel
Mais tu sais, ceux qui volent s’enterrent en plein ciel
Et nos humeurs ont serré nos cœurs
Partis chacun à la bonne heure
Un bonheur potentiel
Un peut-être qu’on attendait trop
Comme l’écrivait si bien Blaise
Le cœur a ses raisons pour partir aussi tôt
Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
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2. |
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Changer Le Monde
Dans les miroirs à une face, tout s’efface
Au travers des glaces sans teint, on ne voit rien
Et que les noctambules haïssent ou aiment
Ridicules, le jour, c’est du pareil au même
Salut bourgeois je t’observe, avec verve
À guetter les égouts des ghettos et ça m’énerve
Et je sens mes sens qui se crispent
Ca sent l’essence, presque l’heure du risque
Plus ça va, plus les âmes grondent
Et nous savons ce que les âmes sont
Je n’arrive pas à changer le monde
De toute façon
Alors je vole des images,
Sans qu’elles m’appartiennent,
Et je vole la place aux vieux sages
Qui ont le secret des totems.
Et les discours défilent
Et on veut nous faire croire
Des mecs sur un fil dans le noir
Et que les funambules se hissent et même
Sur le fil du rasoir c’est du pareil au même
Salut Soldat, je t’observe, avec verve
Guetter les guets apens d’en haut
Et ça, ça m’énerve
Et je sens mes sens qui se crispent
Ca sent l’essence, presque l’heure du risque
Plus ça va, plus les âmes grondent
Et nous savons ce que les âmes sont
Je n’arrive pas à changer le monde
De toute façon
Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
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3. |
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Changer Le Monde
Dans les miroirs à une face, tout s’efface
Au travers des glaces sans teint, on ne voit rien
Et que les noctambules haïssent ou aiment
Ridicules, le jour, c’est du pareil au même
Salut bourgeois je t’observe, avec verve
À guetter les égouts des ghettos et ça m’énerve
Et je sens mes sens qui se crispent
Ca sent l’essence, presque l’heure du risque
Plus ça va, plus les âmes grondent
Et nous savons ce que les âmes sont
Je n’arrive pas à changer le monde
De toute façon
Alors je vole des images,
Sans qu’elles m’appartiennent,
Et je vole la place aux vieux sages
Qui ont le secret des totems.
Et les discours défilent
Et on veut nous faire croire
Des mecs sur un fil dans le noir
Et que les funambules se hissent et même
Sur le fil du rasoir c’est du pareil au même
Salut Soldat, je t’observe, avec verve
Guetter les guets apens d’en haut
Et ça, ça m’énerve
Et je sens mes sens qui se crispent
Ca sent l’essence, presque l’heure du risque
Plus ça va, plus les âmes grondent
Et nous savons ce que les âmes sont
Je n’arrive pas à changer le monde
De toute façon
Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
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4. |
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Histoires de Gamins
Une histoire sur les gamins, les fils de prolos
L’air renfrogné, les poings dans les poches
Ils pissent comme des poulbots
Alors que les vieux, eux
Ils fredonnent un air qu'on retrouve incrusté sur les tags des vieux métros
Le tout sous l'œil du p’tit plein de nerfs, qu'apprend la vie qui ment
Le p’tit Narvalo, ça l’ fait pas marrer
Ils observent comment font les vieux
Et comme dans un dessin de Mano, le petit gitan
S'entend dire qu'il devrait faire mieux
A dix ans du matin, ça le fait pas marrer
A dix ans du matin
Tout ça, c’est des histoires de gamins
Avec un cœur grand comme leurs yeux
Ils mendient avec leurs sales mains, leurs sales manies
Tout ça, c’est des histoires de gamins
Avec un cœur grand comme leurs yeux
Ils mendient avec leurs sales mains, leurs sales manies
Avec un air triste à dépouiller les plus véreux
Et puis quand le froid entaille la fin de la journée
Quand la nuit descend sur le travail, qu’il est l’heure de rentrer
Il suit son père qui fait de grands pas
L’air décidé à en avaler encore une
Pour se rendre au sanctuaire « chez Lalia »
Il murmure à l’oreille du gamin assis sur le bitume
« Garde- ça pour toi » et quand tu seras grand
Tu comprendras pourquoi, fais-moi confiance
Fais-moi confiance poids plume
Alors il reste à distance derrière le daron qui titube
Il se dit que ça doit être ça, les histoires de gamins
Tout ça, c’est des histoires de gamins
Un air qu’on fredonne en jouant aux billes
Mais qu’est-ce que ça va être demain
Avec mon père, il parait qu’on part à Bastille
Tout ça, c’est des histoires de gamins
Des histoires de grands qu’on ne dit pas
Des histoires de grands
Qu’on ne dit pas
Chut !
Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
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5. |
Stigmates
04:24
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Stigmates
J’étais le prince des moins que rien
Je vous attendais chaque nuit
Vous la princesse si féline
Qui venait me sauver la vie
Il faisait sombre vous rayonniez
Comme un rubis interdit
Les créatures faisaient silence
On entendait juste la nuit
Sur les flots incertains
D’un de ces fleuves imaginaires
Là où les lycans et les chiens sauvages
Ne s’aventuraient guère
Nous naviguions à peine pénards
Empruntant les artères
D’un pays coloré en noir
Où convolaient les archiptères
Le serment du jeu des paumés
Nous regardait courir en hâte
Vers ces horizons dépouillés
Qui en portent encore les stigmates
Nous glissions sur ces eaux douteuses
Et sans jamais en avoir peur
Ce rêve avait un peu l’odeur
De mes heures si cafardeuses
J’étais le prince des moins que rien
Vous me trahissiez plus que tout
Je serai alors mes poings
Au fond de mes poches pleines de trous
Impatient que vienne enfin
Le moment tant attendu
Celui un peu avant la fin
Où l’on croit que tout est perdu
Que vous fûtes à ma merci
Que vous me quémandiez pitance
J’ai attendu en vain mille nuits
Sans aucune correspondance
Le serment du jeu des paumés
Nous regardait courir en hâte
Vers ces horizons dépouillés
Qui en portent encore les stigmates
Ils ne pourront nous oublier
Nous courions comme des automates
Des pantins désarticulés
Qui emportent encore les stigmates
J’étais le prince des moins que rien
J’avais un cœur plus grand que tout
Je me sentais étrangement bien
A l’ombre des paysages flous
J’étais le prince des solitaires
C’est ce qui m’a sauvé la vie
Sur ces eaux faites de chair
Je suis le prince qu’on oublie
Le serment du jeu des paumés
Nous regardait courir en hâte
Vers ces horizons dépouillés
Qui en portent encore les stigmates
Je porte encore les quelques traces
Ces cicatrices indélébiles
D’un amour sans carapace
Qui fait toujours gagner les filles
Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
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6. |
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Victoria
Bien en face sur les reins de tes chutes, Victoria
Initiées par le vieux Livingstone
Je suis venu te convertir ici-bas
Missionnaire de la règle des 5 colonnes
Dans l'écume des remous assourdissants, Victoria
C'est à peine si on perce la fumée blanche
Bien en face sur le terrain de tes chutes, Victoria
J'étais venu te divertir ici-bas
Mais je ne sers que la petitesse des hommes
Dans l'écume, les remous et la fumée blanche
Bien en face sur les reins de tes « chut », Victoria
Je suis venu disparaître en silence...
Me noyer sans faire de vagues
A l’abri des regards
Restant sur ma fin
Je divague
Le ventre vide, le cœur gros
Prêt à l’imparable
Dans l'écume des remous assourdissants
C’est à peine si on perce l'écume en transe
Bien en face sur les courbes de tes reins, Victoria
J'étais venu tenter ma chance ici-bas
Mais je ne suis que la petitesse des hommes
Dans l'écume, les remous, la fumée blanche
Bien en face sur les reins de tes chutes, Victoria
Je suis venu disparaître en silence
Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
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7. |
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Y'a des Gens
Y’a des gens qui parlent
De vous et de moi
La teneur est fatale
Un peu plus à chaque fois
Y’a des gens qui jugent et qui ne pardonnent pas
Tous ceux-là font du grabuge
Et aussi ne travaillent pas
Y’a des gens qui meurent
Et qu’on oublie d’entretenir
On s’en rappelle et on pleure
Et tout ça n’est plus qu’un souvenir
Tout arrive on voit de tout
Tout arrive on voit de tout
Y’a des gens qui boivent
Simplement pour passer le temps
Ils examinent les caves et vénèrent le raisin blanc
Y’a des gens qui flippent
A la moindre éclaboussure
Qui savent plus où ils habitent
Et qui pleurent dans leurs chaussures
Y’a des gens qui crient
Pour ameuter les voisins
Ils arrachent toute la ville
Et après ils se sentent bien
Tout arrive on voit de tout
Tout arrive Madame on voit de tout
Y’a des gens qui parlent de vous et de moi
La teneur est fatale un peu plus à chaque fois
Y’a des gens qui fument
Par dégoût de l’oxygène
N’importe où on l’allume
Y’a comme un problème
Y’a des gens qui voient
Mais qui n’entendent pas
Qui bouffent des tas d’images
A n’importe quel âge
Tout arrive
On voit de tout
Tout arrive Madame
On voit de tout
Y’a des gens qui pleurent,
qui mangent et qui suent
Qui vont aux 24 heures pour se taper une hallu
Y’a des gens qui…
Parlent, jugent, quittent, travaillent
Meurent, oublient, voient, boivent
Passent, admirent, flippent, examinent…
Tout arrive
On voit de tout
Y’a des gens qui parlent
De vous et de moi
La teneur est fatale
Un peu plus à chaque fois
Tout arrive
On voit de tout
Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
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8. |
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Presque Mort
Salut Frangin, je t’écris de la Terre
D’une de ces scènes que nous avions foulées
Ecrivant chaque jour un acte supplémentaire
Dans les hasards où tu jetais les dés
Accroché à une posture des plus inconfortables
Je parie mon futur sur un vieux coin de table
Et je joue Full aux ennuis par la guigne
Je tente d’écrire enfin petit d’homme
Les minutes prétentieuses se prennent pour des heures
J’essaie de respirer cet air qu’on se donne
Et j’emprunte encore les chemins qu’on rebrousse
Sur ces pistes vides où les clowns squattent les trapèzes
De te rappeler que tu es parti en somme
Saluant la beauté d’un destin qui marchait sur les braises
J’ai le blues sûrement parce que Winter arrive
Il fallait que je te cause, ici, je pars à la dérive
Je suis presque mort mais pas encore
Pas encore
Salut Frangin, je t’écris de la Terre
D’une de ces scènes que nous avions foulées
Laissant pour seul vestige
Un full aux ennuis par la guigne
On regardait le ciel cherchant le moindre horizon
Tous les deux en selle, on se sentait moins cons
J’essaie de respirer cet air qu’on se donne
J’emprunte encore les chemins qu’on rebrousse
Salut Frangin, je t’écris de la Terre
Presque mort, mais pas encore
Pas encore
Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
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9. |
N'importe Quoi
04:46
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N'importe Quoi
C’est à peine si le jour ose pointer le bout de ce qu’il doit
A la nuit qui n’a de cesse et réclame
A ceux qui feignent de ne rien faire de leurs dix doigts
Ou de leurs fesses, plantées au pied des mâts de cocagne
Récupérer enfin tous les vagabondages
Ces écrits qui envahissent mes pages
Ces bouts de rien qui feront un grand tout
A faire le pitre, j’en ai oublié le titre
J’ai la souvenance qui part en vrille
Je ne suis pas de ceux qui s’élèvent tôt
Big strike en plein cœur des quilles
Une lucky strike à la bouche du héros
Depuis que tu n’es plus là je fais un peu n’importe quoi
A errer dans les courants d’airs
Depuis que tu n’es plus là je feins un peu et porte quoi, rien,
Si ce n’est ces faux airs
Depuis que tu n’es plus là, je fais un peu n’importe quoi,
Aéré dans les courants d’airs
Depuis que tu n’es plus là je suis un peu n’importe quoi,
Avec mon allure de faussaire
Un verre de Jack prêt à m’éventrer
Dans les bouges qui éclairent mes sales nuits
Je prends des claques sans me vanter
A la bougie je couche ce qui me nuit
Je tente malgré tout d’esquiver toutes les douleurs
Celles-là même qui étalonnent l’échelle de Richter
J’ai vérifié tous les tremblements de terre
Mais sans toi je ne sais plus quoi faire
J’ai vérifié, c’est n’importe quoi
Je reste hagard à l’ouest, attend le dernier train
Je déteste le quai des matins
A démâter, à faire le con, j’en oublie même la raison.
Je me noie, ça me les casse, excusez-moi mais c’est ma place
Allons crier là où je trempe ma plume
Laissez-moi m’éteindre, laissez-moi m’éteindre là où je vous allume
Récupérer enfin tous les vagabondages
Ces écrits qui envahissent mes pages
Ces bouts de rien qui feront un grand tout
A faire le pitre, j’en ai oublié le …
J’ai la souvenance qui part en vrille
Je ne suis pas de ceux qui s’élèvent tôt
Big strike en plein cœur des quilles
Une lucky strike à la bouche du héros
J’ai la souvenance qui part en vrille
Je ne suis pas de ceux qui s’élèvent tôt
Big strike en plein cœur des quilles
Une lucky strike à la bouche du héros
Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
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10. |
Passé par là
02:13
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Passé par Là
J’ai connu des temps de disette
Mais sans ne jamais manquer de rien
Où les vieux sacrifiaient repas
Au profit des jeunes sans tête
Puis vînt le temps des études
A dévorer 120 bouquins
Poète maudit des clairs de lune
Qui éclairaient mes parchemins
J’ai fini dans la peau d’un livre
Un soir de Mai on m’acclamât
J’ai montré que l’écrit enivre
Mais je suis juste passé par là
Caresser les crinières des femmes
Et jongler avec leurs couleurs
Je fus célèbre le temps d’une flamme
Scandait Andy en beau parleur
Puis vint le temps de la musique
Des guitares qu’il fallait dompter
Dealer d’un rock presque unique
Si bien qu’il ne fit que passer
Je finis dans la peau d’un stade
Un soir de Juin on m’acclamât
J’ai montré de quoi j’étais capable
Mais je suis juste passé par là
J’ai tout perdu, jamais la gagne
Avec ma gueule pour seule compagne
Pas eu l’amour, pas même un môme
Je suis passé comme un fantôme
Puis vint le temps de reconnaitre
Que je ne fus qu’un scélérat
Qui rêvait les yeux ouverts
Mais je suis juste passé par
Qui rêvait les yeux ouverts
Mais je suis juste passé par là
Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
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11. |
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Les Âmes en Fougue
En approche des défaites enguirlandées par plus fort que toi
Un signe de la tête, trahissant ton désarroi
Tu m'as laissé en cadeau, quelques kilos d'absence
Quelques litres d'absinthe, petite fée, distillés dans ton indifférence
Quelques soirs en sursis, au tribunal de tes silences
Me reviennent des images, des bribes de nos corps à corps
Dans une masure appuyée contre les siècles passés
Des flash-backs incessants au cœur des oxymores
Qui me rappellent que j'ai tout oublié
Quand les habitudes se rouillent
Quand plus rien ne bouge
Quand les esprits se souillent
Quand les humeurs voient rouge
Les solitaires d’un soir, solidaires
Les célibataires aux pseudos primaires
Cachés dans l’ivresse, comme derrière un loup
Au bal des maîtresses et des amants fous
Au bal des traîtresses et des âmes en fougue
Tu étais de celles qui s’offrent aux premiers venus
Petite fée sans aile qui n'avait plus que son cul
Papillonnant dans le cœur des hommes en évitant le mien
Tu restes la madone de ceux qui n'ont plus rien
Dans les infra basses, les techno systèmes
Tu racolais les regards et te sentais belle
A n'importe quel âge, à n'importe quel prix
Comme le dit l'adage, on n’a qu'une seule vie
Mais plusieurs nuits quand tu te donnes et enlaces
Sans même les connaître, ceux qui te suivent à la trace
Les amours se mettent à se taire
Et sans scrupules commettent l’adultère
Crois en moi et tu vivras l’enfer
Et vice et versa, à tort ou à travers
Dansez sur vos ruines quand la nuit vous mélange
Vous verrez que le jour abîme, tous ceux qu'on prend pour des anges
Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
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||||
12. |
In nominé patris
03:01
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.In Nominé Patris
Quand les gens crédibles
Prennent les incrédules pour une cible
On crédite alors tous les débiles
Qui se mettent à lire la bible
Tous ce qui les démange alors
Quand ils se mélangent d’abord
Schizophrènes dans les tournants,
Là-bas on n’a jamais rien trouvé d’important
Y’a comme un malaise…
Alors ne restons pas devant
Ou dans leurs siestes inutiles
Gardons nos forces à présent
Avant que tout ne parte et ne s’effile
A chacun, à chacun
De prendre « demain » en main
Pendant que vous pouvez encore
Partager vos peines
Qu’ils soient chastes ou inavouables
Ou qu’à la fin ils se perdent
Avec des hosties plein les cartables
Le Clergé a comme une odeur de …
On peut y voir prier les siens
Toujours en fermant les yeux
Fatalistes jusqu’au bout du destin
À la recherche d’un quelconque Dieu
A chacun, à chacun
A chacun d’encaisser les préjudices
In nominé patris
Et même si on se mélange
Les pédales, les pinceaux,
Moi les anges, me dérangent
À ce point et au plus haut
Je ne serai jamais ton fils
In nominé patris
Ce titre n’a en aucun cas été compose à l’encontre du Pape François mais bel et bien envers ceux qui renoncent, celui qui a renoncé devrais-je dire
Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
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13. |
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Lyrics by Kelly Jones
www.stereophonics.com
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Walther Gallay France
Réalisateur Voix et arrangeur au Studio Le Garage depuis 2005, Walther Gallay est le fondateur de Café Bertrand. Fort de son expérience de manager au sein du groupe avec qui il prépare un 5eme album, il s'engouffre dans la brèche, prêt à en découdre, textes à la main et sort son album solo "Stigmates" le 31 Mars 2014, pour ses 43 ans, dont 23 au service exclusif de la musique. A découvrir de suite ... more
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