We’ve updated our Terms of Use to reflect our new entity name and address. You can review the changes here.
We’ve updated our Terms of Use. You can review the changes here.

Stigmates

by Walther Gallay

supported by
/
  • Compact Disc (CD) + Digital Album

    Format CD - 12 titres - Durée 45 mns - + Livret 8 pages couleur avec textes. Boitier cristal

    Le chanteur de Café Bertrand pour la première fois en solo avec un album où la chanson croise le blues, le folk,le rock ou encore l'electro. Comme à son habitude, Walther Gallay privilégie la langue de Molière, ne laissant la place qu'à un seul titre en anglais "In a moment", reprise de Stéréophonics.
    Des amis de longue date ont répondu présents pour ce 1er album solo du leader historique de Café Bertrand,et c'est donc une palette internationale de guests qui ont posé leur talent sur ces sillons. 43 minutes de sincérité, de textes affûtés, soutenus par des univers différents mais cohérents.

    Includes unlimited streaming of Stigmates via the free Bandcamp app, plus high-quality download in MP3, FLAC and more.
    ships out within 8 days
    Purchasable with gift card

      €15 EUR or more 

     

  • Streaming + Download

    Includes unlimited streaming via the free Bandcamp app, plus high-quality download in MP3, FLAC and more.
    Purchasable with gift card

      €7 EUR  or more

     

1.
Bonheur Potentiel Je m’étais remis à l’ouvrage, je couchais quelques lignes A l’ombre des histoires sauvages et câlines Qui nous résumaient tous les deux Pensant que Cupidon voulait faire de son mieux A trop attendre son arrivée, on s’est décousus à la longue Comme ces étoiles artificielles à savoir Qu’elles ne scintillent que dans le noir Comme un avenir potentiel noctambule dans sa ronde Plus rien n’avait de sens si ce n’était celui de l’unique A trop attendre qu’il redescende, nous avions fermé boutique Un bonheur potentiel Mais tu sais, ceux qui volent s’enterrent en plein ciel Et le cœur a ses raisons que nos instincts nous rappellent Pour un peu qu’on l’ignore, perdus dans la bagatelle Je voulais expulser ma rage, accoucher quelques signes Comme un enfant de passage, perdu Qui voudrait s’en aller digne Pensant que l’archer du bidon se pointerait à la bonne heure Plus rien n’a de sens si ce n’est celui de l’unique Je te vois quand tu danses affolant les mâles du cirque Un bonheur potentiel Mais tu sais, ceux qui volent s’enterrent en plein ciel Et nos humeurs ont serré nos cœurs Partis chacun à la bonne heure Un bonheur potentiel Un peut-être qu’on attendait trop Comme l’écrivait si bien Blaise Le cœur a ses raisons pour partir aussi tôt Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
2.
Changer Le Monde Dans les miroirs à une face, tout s’efface Au travers des glaces sans teint, on ne voit rien Et que les noctambules haïssent ou aiment Ridicules, le jour, c’est du pareil au même Salut bourgeois je t’observe, avec verve À guetter les égouts des ghettos et ça m’énerve Et je sens mes sens qui se crispent Ca sent l’essence, presque l’heure du risque Plus ça va, plus les âmes grondent Et nous savons ce que les âmes sont Je n’arrive pas à changer le monde De toute façon Alors je vole des images, Sans qu’elles m’appartiennent, Et je vole la place aux vieux sages Qui ont le secret des totems. Et les discours défilent Et on veut nous faire croire Des mecs sur un fil dans le noir Et que les funambules se hissent et même Sur le fil du rasoir c’est du pareil au même Salut Soldat, je t’observe, avec verve Guetter les guets apens d’en haut Et ça, ça m’énerve Et je sens mes sens qui se crispent Ca sent l’essence, presque l’heure du risque Plus ça va, plus les âmes grondent Et nous savons ce que les âmes sont Je n’arrive pas à changer le monde De toute façon Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
3.
Changer Le Monde Dans les miroirs à une face, tout s’efface Au travers des glaces sans teint, on ne voit rien Et que les noctambules haïssent ou aiment Ridicules, le jour, c’est du pareil au même Salut bourgeois je t’observe, avec verve À guetter les égouts des ghettos et ça m’énerve Et je sens mes sens qui se crispent Ca sent l’essence, presque l’heure du risque Plus ça va, plus les âmes grondent Et nous savons ce que les âmes sont Je n’arrive pas à changer le monde De toute façon Alors je vole des images, Sans qu’elles m’appartiennent, Et je vole la place aux vieux sages Qui ont le secret des totems. Et les discours défilent Et on veut nous faire croire Des mecs sur un fil dans le noir Et que les funambules se hissent et même Sur le fil du rasoir c’est du pareil au même Salut Soldat, je t’observe, avec verve Guetter les guets apens d’en haut Et ça, ça m’énerve Et je sens mes sens qui se crispent Ca sent l’essence, presque l’heure du risque Plus ça va, plus les âmes grondent Et nous savons ce que les âmes sont Je n’arrive pas à changer le monde De toute façon Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
4.
Histoires de Gamins Une histoire sur les gamins, les fils de prolos L’air renfrogné, les poings dans les poches Ils pissent comme des poulbots Alors que les vieux, eux Ils fredonnent un air qu'on retrouve incrusté sur les tags des vieux métros Le tout sous l'œil du p’tit plein de nerfs, qu'apprend la vie qui ment Le p’tit Narvalo, ça l’ fait pas marrer Ils observent comment font les vieux Et comme dans un dessin de Mano, le petit gitan S'entend dire qu'il devrait faire mieux A dix ans du matin, ça le fait pas marrer A dix ans du matin Tout ça, c’est des histoires de gamins Avec un cœur grand comme leurs yeux Ils mendient avec leurs sales mains, leurs sales manies Tout ça, c’est des histoires de gamins Avec un cœur grand comme leurs yeux Ils mendient avec leurs sales mains, leurs sales manies Avec un air triste à dépouiller les plus véreux Et puis quand le froid entaille la fin de la journée Quand la nuit descend sur le travail, qu’il est l’heure de rentrer Il suit son père qui fait de grands pas L’air décidé à en avaler encore une Pour se rendre au sanctuaire « chez Lalia » Il murmure à l’oreille du gamin assis sur le bitume « Garde- ça pour toi » et quand tu seras grand Tu comprendras pourquoi, fais-moi confiance Fais-moi confiance poids plume Alors il reste à distance derrière le daron qui titube Il se dit que ça doit être ça, les histoires de gamins Tout ça, c’est des histoires de gamins Un air qu’on fredonne en jouant aux billes Mais qu’est-ce que ça va être demain Avec mon père, il parait qu’on part à Bastille Tout ça, c’est des histoires de gamins Des histoires de grands qu’on ne dit pas Des histoires de grands Qu’on ne dit pas Chut ! Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
5.
Stigmates 04:24
Stigmates J’étais le prince des moins que rien Je vous attendais chaque nuit Vous la princesse si féline Qui venait me sauver la vie Il faisait sombre vous rayonniez Comme un rubis interdit Les créatures faisaient silence On entendait juste la nuit Sur les flots incertains D’un de ces fleuves imaginaires Là où les lycans et les chiens sauvages Ne s’aventuraient guère Nous naviguions à peine pénards Empruntant les artères D’un pays coloré en noir Où convolaient les archiptères Le serment du jeu des paumés Nous regardait courir en hâte Vers ces horizons dépouillés Qui en portent encore les stigmates Nous glissions sur ces eaux douteuses Et sans jamais en avoir peur Ce rêve avait un peu l’odeur De mes heures si cafardeuses J’étais le prince des moins que rien Vous me trahissiez plus que tout Je serai alors mes poings Au fond de mes poches pleines de trous Impatient que vienne enfin Le moment tant attendu Celui un peu avant la fin Où l’on croit que tout est perdu Que vous fûtes à ma merci Que vous me quémandiez pitance J’ai attendu en vain mille nuits Sans aucune correspondance Le serment du jeu des paumés Nous regardait courir en hâte Vers ces horizons dépouillés Qui en portent encore les stigmates Ils ne pourront nous oublier Nous courions comme des automates Des pantins désarticulés Qui emportent encore les stigmates J’étais le prince des moins que rien J’avais un cœur plus grand que tout Je me sentais étrangement bien A l’ombre des paysages flous J’étais le prince des solitaires C’est ce qui m’a sauvé la vie Sur ces eaux faites de chair Je suis le prince qu’on oublie Le serment du jeu des paumés Nous regardait courir en hâte Vers ces horizons dépouillés Qui en portent encore les stigmates Je porte encore les quelques traces Ces cicatrices indélébiles D’un amour sans carapace Qui fait toujours gagner les filles Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
6.
Victoria Bien en face sur les reins de tes chutes, Victoria Initiées par le vieux Livingstone Je suis venu te convertir ici-bas Missionnaire de la règle des 5 colonnes Dans l'écume des remous assourdissants, Victoria C'est à peine si on perce la fumée blanche Bien en face sur le terrain de tes chutes, Victoria J'étais venu te divertir ici-bas Mais je ne sers que la petitesse des hommes Dans l'écume, les remous et la fumée blanche Bien en face sur les reins de tes « chut », Victoria Je suis venu disparaître en silence... Me noyer sans faire de vagues A l’abri des regards Restant sur ma fin Je divague Le ventre vide, le cœur gros Prêt à l’imparable Dans l'écume des remous assourdissants C’est à peine si on perce l'écume en transe Bien en face sur les courbes de tes reins, Victoria J'étais venu tenter ma chance ici-bas Mais je ne suis que la petitesse des hommes Dans l'écume, les remous, la fumée blanche Bien en face sur les reins de tes chutes, Victoria Je suis venu disparaître en silence Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
7.
Y'a des Gens Y’a des gens qui parlent De vous et de moi La teneur est fatale Un peu plus à chaque fois Y’a des gens qui jugent et qui ne pardonnent pas Tous ceux-là font du grabuge Et aussi ne travaillent pas Y’a des gens qui meurent Et qu’on oublie d’entretenir On s’en rappelle et on pleure Et tout ça n’est plus qu’un souvenir Tout arrive on voit de tout Tout arrive on voit de tout Y’a des gens qui boivent Simplement pour passer le temps Ils examinent les caves et vénèrent le raisin blanc Y’a des gens qui flippent A la moindre éclaboussure Qui savent plus où ils habitent Et qui pleurent dans leurs chaussures Y’a des gens qui crient Pour ameuter les voisins Ils arrachent toute la ville Et après ils se sentent bien Tout arrive on voit de tout Tout arrive Madame on voit de tout Y’a des gens qui parlent de vous et de moi La teneur est fatale un peu plus à chaque fois Y’a des gens qui fument Par dégoût de l’oxygène N’importe où on l’allume Y’a comme un problème Y’a des gens qui voient Mais qui n’entendent pas Qui bouffent des tas d’images A n’importe quel âge Tout arrive On voit de tout Tout arrive Madame On voit de tout Y’a des gens qui pleurent, qui mangent et qui suent Qui vont aux 24 heures pour se taper une hallu Y’a des gens qui… Parlent, jugent, quittent, travaillent Meurent, oublient, voient, boivent Passent, admirent, flippent, examinent… Tout arrive On voit de tout Y’a des gens qui parlent De vous et de moi La teneur est fatale Un peu plus à chaque fois Tout arrive On voit de tout Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
8.
Presque Mort Salut Frangin, je t’écris de la Terre D’une de ces scènes que nous avions foulées Ecrivant chaque jour un acte supplémentaire Dans les hasards où tu jetais les dés Accroché à une posture des plus inconfortables Je parie mon futur sur un vieux coin de table Et je joue Full aux ennuis par la guigne Je tente d’écrire enfin petit d’homme Les minutes prétentieuses se prennent pour des heures J’essaie de respirer cet air qu’on se donne Et j’emprunte encore les chemins qu’on rebrousse Sur ces pistes vides où les clowns squattent les trapèzes De te rappeler que tu es parti en somme Saluant la beauté d’un destin qui marchait sur les braises J’ai le blues sûrement parce que Winter arrive Il fallait que je te cause, ici, je pars à la dérive Je suis presque mort mais pas encore Pas encore Salut Frangin, je t’écris de la Terre D’une de ces scènes que nous avions foulées Laissant pour seul vestige Un full aux ennuis par la guigne On regardait le ciel cherchant le moindre horizon Tous les deux en selle, on se sentait moins cons J’essaie de respirer cet air qu’on se donne J’emprunte encore les chemins qu’on rebrousse Salut Frangin, je t’écris de la Terre Presque mort, mais pas encore Pas encore Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
9.
N'importe Quoi C’est à peine si le jour ose pointer le bout de ce qu’il doit A la nuit qui n’a de cesse et réclame A ceux qui feignent de ne rien faire de leurs dix doigts Ou de leurs fesses, plantées au pied des mâts de cocagne Récupérer enfin tous les vagabondages Ces écrits qui envahissent mes pages Ces bouts de rien qui feront un grand tout A faire le pitre, j’en ai oublié le titre J’ai la souvenance qui part en vrille Je ne suis pas de ceux qui s’élèvent tôt Big strike en plein cœur des quilles Une lucky strike à la bouche du héros Depuis que tu n’es plus là je fais un peu n’importe quoi A errer dans les courants d’airs Depuis que tu n’es plus là je feins un peu et porte quoi, rien, Si ce n’est ces faux airs Depuis que tu n’es plus là, je fais un peu n’importe quoi, Aéré dans les courants d’airs Depuis que tu n’es plus là je suis un peu n’importe quoi, Avec mon allure de faussaire Un verre de Jack prêt à m’éventrer Dans les bouges qui éclairent mes sales nuits Je prends des claques sans me vanter A la bougie je couche ce qui me nuit Je tente malgré tout d’esquiver toutes les douleurs Celles-là même qui étalonnent l’échelle de Richter J’ai vérifié tous les tremblements de terre Mais sans toi je ne sais plus quoi faire J’ai vérifié, c’est n’importe quoi Je reste hagard à l’ouest, attend le dernier train Je déteste le quai des matins A démâter, à faire le con, j’en oublie même la raison. Je me noie, ça me les casse, excusez-moi mais c’est ma place Allons crier là où je trempe ma plume Laissez-moi m’éteindre, laissez-moi m’éteindre là où je vous allume Récupérer enfin tous les vagabondages Ces écrits qui envahissent mes pages Ces bouts de rien qui feront un grand tout A faire le pitre, j’en ai oublié le … J’ai la souvenance qui part en vrille Je ne suis pas de ceux qui s’élèvent tôt Big strike en plein cœur des quilles Une lucky strike à la bouche du héros J’ai la souvenance qui part en vrille Je ne suis pas de ceux qui s’élèvent tôt Big strike en plein cœur des quilles Une lucky strike à la bouche du héros Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
10.
Passé par Là J’ai connu des temps de disette Mais sans ne jamais manquer de rien Où les vieux sacrifiaient repas Au profit des jeunes sans tête Puis vînt le temps des études A dévorer 120 bouquins Poète maudit des clairs de lune Qui éclairaient mes parchemins J’ai fini dans la peau d’un livre Un soir de Mai on m’acclamât J’ai montré que l’écrit enivre Mais je suis juste passé par là Caresser les crinières des femmes Et jongler avec leurs couleurs Je fus célèbre le temps d’une flamme Scandait Andy en beau parleur Puis vint le temps de la musique Des guitares qu’il fallait dompter Dealer d’un rock presque unique Si bien qu’il ne fit que passer Je finis dans la peau d’un stade Un soir de Juin on m’acclamât J’ai montré de quoi j’étais capable Mais je suis juste passé par là J’ai tout perdu, jamais la gagne Avec ma gueule pour seule compagne Pas eu l’amour, pas même un môme Je suis passé comme un fantôme Puis vint le temps de reconnaitre Que je ne fus qu’un scélérat Qui rêvait les yeux ouverts Mais je suis juste passé par Qui rêvait les yeux ouverts Mais je suis juste passé par là Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
11.
Les Âmes en Fougue En approche des défaites enguirlandées par plus fort que toi Un signe de la tête, trahissant ton désarroi Tu m'as laissé en cadeau, quelques kilos d'absence Quelques litres d'absinthe, petite fée, distillés dans ton indifférence Quelques soirs en sursis, au tribunal de tes silences Me reviennent des images, des bribes de nos corps à corps Dans une masure appuyée contre les siècles passés Des flash-backs incessants au cœur des oxymores Qui me rappellent que j'ai tout oublié Quand les habitudes se rouillent Quand plus rien ne bouge Quand les esprits se souillent Quand les humeurs voient rouge Les solitaires d’un soir, solidaires Les célibataires aux pseudos primaires Cachés dans l’ivresse, comme derrière un loup Au bal des maîtresses et des amants fous Au bal des traîtresses et des âmes en fougue Tu étais de celles qui s’offrent aux premiers venus Petite fée sans aile qui n'avait plus que son cul Papillonnant dans le cœur des hommes en évitant le mien Tu restes la madone de ceux qui n'ont plus rien Dans les infra basses, les techno systèmes Tu racolais les regards et te sentais belle A n'importe quel âge, à n'importe quel prix Comme le dit l'adage, on n’a qu'une seule vie Mais plusieurs nuits quand tu te donnes et enlaces Sans même les connaître, ceux qui te suivent à la trace Les amours se mettent à se taire Et sans scrupules commettent l’adultère Crois en moi et tu vivras l’enfer Et vice et versa, à tort ou à travers Dansez sur vos ruines quand la nuit vous mélange Vous verrez que le jour abîme, tous ceux qu'on prend pour des anges Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
12.
.In Nominé Patris Quand les gens crédibles Prennent les incrédules pour une cible On crédite alors tous les débiles Qui se mettent à lire la bible Tous ce qui les démange alors Quand ils se mélangent d’abord Schizophrènes dans les tournants, Là-bas on n’a jamais rien trouvé d’important Y’a comme un malaise… Alors ne restons pas devant Ou dans leurs siestes inutiles Gardons nos forces à présent Avant que tout ne parte et ne s’effile A chacun, à chacun De prendre « demain » en main Pendant que vous pouvez encore Partager vos peines Qu’ils soient chastes ou inavouables Ou qu’à la fin ils se perdent Avec des hosties plein les cartables Le Clergé a comme une odeur de … On peut y voir prier les siens Toujours en fermant les yeux Fatalistes jusqu’au bout du destin À la recherche d’un quelconque Dieu A chacun, à chacun A chacun d’encaisser les préjudices In nominé patris Et même si on se mélange Les pédales, les pinceaux, Moi les anges, me dérangent À ce point et au plus haut Je ne serai jamais ton fils In nominé patris Ce titre n’a en aucun cas été compose à l’encontre du Pape François mais bel et bien envers ceux qui renoncent, celui qui a renoncé devrais-je dire Walther Gallay - All Rights Reserved 2014
13.
Lyrics by Kelly Jones www.stereophonics.com

credits

released March 31, 2014

license

all rights reserved

tags

about

Walther Gallay France

Réalisateur Voix et arrangeur au Studio Le Garage depuis 2005, Walther Gallay est le fondateur de Café Bertrand. Fort de son expérience de manager au sein du groupe avec qui il prépare un 5eme album, il s'engouffre dans la brèche, prêt à en découdre, textes à la main et sort son album solo "Stigmates" le 31 Mars 2014, pour ses 43 ans, dont 23 au service exclusif de la musique. A découvrir de suite ... more

contact / help

Contact Walther Gallay

Streaming and
Download help

Shipping and returns

Report this album or account

If you like Walther Gallay, you may also like: